J'en essaye un...mais il est long
Nibelheim, petit village ésseulé,
Petit village perdu au beau milieu des vallées,
J'ai pu arriver là-bas pour le retrouver,
Cet homme à la chevelure argentée que j'appréciait,
J'ai suivie discrètement cet homme en noir,
Jusqu'au Manoir Shinra que j'ai put voir,
J'ai tout comprie là-bas,
Ces expériences, comment j'ai été créée là,
J'ai vue la folie de Séphiroth arriver,
Et je n'ai rien put faire pour l'en empêcher,
Il ne m'écoutait plus,
Jusqu'au dernier livre, il a tout lu
Quand il m'a tout expliqué, j'ai pleurée,
Car je savais l'atroce vérité,
Mais quand j'ai tentée de la lui raconter,
Il m'a giflée,
L'homme que j'aimais m'a frappé,
Et je suis partie pour me défouler
Dans ces montagnes sombres
Ou je ne voyais plus mon ombre,
J'ai sentie une odeur de brûlé,
J'ai courue au village en train d'être incendié
J'entend le nom de Séphiroth hurlé,
Et je l'ai vue dans ce brasier,
Aucune expression en regardant sa lame d'acier
Ensanglantée de gens innocents,
Je le voir partir dans ce bain de sang
En direction du Réacteur Makô,
Je l'ai encore suivie jusqu'en haut,
Je me suis cachée,
J'ai observée le drame qui se produisait,
Et j'ai courue avant que la porte se ferme,
J'ai de loin obsérvée le visage ferme,
D'une statue en acier,
Que Séphiroth a arraché,
Et je t'ai vue, mère,
Dans ce tuyau autrour de cette large cage de fer,
J'ai entendue du bruit,
Je me suis cachée derrière un conduit
Là où coulait l'énergie de la planète,
Celle qu'on recevait et qui nous faisait perdre la tête,
J'ai vue Zack perdre et propulsé
Sur une de ces cuves ovales,
Je me suis sentie pâle,
J'allait te parler,
Clad m'a devancé,
Il t'as transpércé
Et il t'a abandonné
J'était paralysée,
En voyant Séphiroth se relever
Et couper la tête de mère d'un coup,
Il est passé devant moi sans me répérer, encore fou
Clad l'a occupé pendant que je fuyait,
Je suis tombée du haut du pont brisé,
Et je me suis évanouie
Dans les noirceurs de la nuit.
Je ne veux plus y retourner,
Je garderais ce souvenir pour tout l'étérnitéAyame: ...
Adeline : Bah quoi?