hymnes d'Utai

Reno : et continuons la série des hymnes avec celui d'Utai !

A Utai
ou que tu ailles
tu peux toujours picoler
autour d'une cruche de saké
c'est un alcool sec et chaud
comme les flammes du mont Da Chao
vive l'alcool de riz !
de ce merveilleux pays !

Je suis assez fière de celui-là... un rappel sur le passé du Wutai et sur l'historique de la Compagnie Shin-Ra...

Wutai, c'était loin, c'était la guerre
SOLDIERs mourrant par le fer
Par le feu, pluie de sang
Je n'ai rien vu, j'étais un enfant
Mon père me disait parfois
"Si tu n'es pas sage je t'envoie là."
Même si je ne savais pas pourquoi
Je ne voulais pas aller là-bas
Alors j'étais très sage
Sage comme une image
Et nos SOLDIERs mourraient par le fer
Par le feu, pluie de sang, et vivaient l'enfer.

Tout ce texte est basé sur un truc que dit Yuffie au téléphone (vous savez, quand tout le monde parle en même temps?) Elle dit que les enfants de Wutai ont disparu...

Il y avait une grande montagne de pierre
Je l'ai escaladée avec mes deux frères
C'était une montagne avec un Dieu
Mais je ne l'ai pas vu, c'est peut-être mieux
À part sa forme, dans la pierre gravée
Et il y avait des gens pour les vénérer
Vénérer ces pierres, ces rochers éboulés
Cette fausse image d'un Dieu sculpté
Ils continuaient d'implorer mais j'étais là
J'étais peut-être devenu leur Dieu... j'aimais ça.
Même s'ils ne sont que des humains
Je les tenais au creux de ma main
S'ils imploraient c'était peut-être pour leurs vies
Pour celles de leurs enfants, aussi
Peu importe, nous avons pris les enfants
Le Dieu de la montagne est impuissant
Il n'a pas su les protéger, les enfants, les protéger
Alors mes frères et moi les avons emmenés.

Utaï...Ma ville préférée^^!!!(J'ai même pardonnée à Youffie le fait qu'elle m'ait piquée mes matérias!)

Autrefois une grande ville,
Je sens une larme couler sous mes cils,
En voyant ce que je devais faire,
Tuer ces femmes, ces hommes et ces enfants par le fer,
La bataille a été sanglante,
Une femme demande grâce, tremblante,
Mais je peut pas désobéïr et je l'ai tuée,
Pardonnez moi mes pêchés,
Mon amour est devenu une légende,
Et moi, il fallait que je le défende,
Contre les ninjas de l'ennemi,
Ou, si je n'étais pas là, il aurait put perdre la vie,
Je me déteste pour ces meurtres inacceptables,
Je m'effondre sur une table,
Il vient me voir et me consoler,
Et sur la joue, je lui ais donnée un baiser,
Il m'a regardé et il est parti
Dans les ténèbres de la nuit