OMFG... bon, allons-y...
Sable, je ne vois que du sable
Rien d'autre devant il me semble
Il glisse entre mes doigts, coule
Comme le lifestream, coule
Comme une vie sous ce soleil
Qui me donne un teint vermeil
Cette chaleur abrutissante
Ces femmes aguichantes
Ce monde qui n'existe
Que pour lui-même, existe
Pour les plaisirs de ces imbéciles
Heureusement, ils sont dociles
Je leur donne la source de leur plaisir
Ils auront l'impression de ne plus souffrir
Ils auront l'impression d'exister
Et ils pourront me payer.