Petite ballade

Valentin: *Valentin mparche tranquillement le long du trotoir, son sac sur le dos, quand souain il entend un gragouillement. Il regarde son ventre avec étonement, puis cherche quelques chose. Soudain, il voit ce qu'il veut, et va faire la queue pour de prendre un sandwich. Lorsqu'il l'a, il va s'assoire dans un coin, pose son sac et commence à manger tranquillement, regardant la foule autour de lui. c'est fou comme il se sentait différent des autres.*

seraphin s'etait eloignié de la demeur famillial abendonnent l'observation,ses pas le guidé calmement dans la foule sans sinquiétais de rein, pour temps sont atention etais au aguée.
il semblé etre le seul a aller a contre sanse de se monde, les gens le bousculent ne fessant nulement atention a lui.
Ses grand yeux gris se possére si et là jusqua tombé sur une forme arrété dans un coin intrigué par le fait que cette personne sorte de la masse il savenca ...
sans un mot il stopa face a Valentin et sacroupie face a lui , il claqua la langue ses yeux plongé dans une observation miticuleuse de se dernier, il savait que se n'etais pas polit mais dans se monde qui l'etais encore

Valentin: *Valentin déguste tranquilement son sandwich, quand une tierce personnne vint se poster devant lui et s'accroupie, le dévisageant sans gène. Valentin reste un moment en arrête sur image, la bouche grande ouverte, prêt à croquer dans le pain. Finalement, il hausse les épaules et croque. Il mâche doucement et avale le tout. L'autre ne bouge toujours pas. Cela l'intrigue un peu. Non pas qu'il soit gèné, il a l'habitude qu'on l'orbserve ainsi, après tout, il ne passe pas tout à fait innaperçut. Mais personne ne l'a jamais fais aussi ouvertement. Il a même un léger sourire face à l'audace du jeune homme*

Je suis si étrange que ça?

Seraphim laisse ses yeux argenté glisé sur le visage, d etailient chaque detaile de suis ci il avait pour abitude d etre tres fisionome .
la vois de sont interlocuteur le fit un moment reculer, pure prudence

" non pas vraiment tes simplement pas banale"

des chose etrange il en avait vus mais de la a dire que l'autre etais une créature de foire.
il se laissa aller en arriere froncent légérement le nez qu'il vein graté en glisent un dois dessoue
il etais rare que Seraphim posse une question

" tu vein d'ou?"

Valentin: *Valentin sourit à la réponse du jeune homme. Puis, il continue à manger son samdwich tout en regardant l'autre. A nouveau, il avale ce qu'il a dans la bouche, avant de parler.*

D'un village dont je ne connais pas même le nom. Mais et toi, d'où viens-tu?

*Puisque l'autre a lancer la conversation, autant la continuer. Valentin prend une nouvelle bouchée de son sandwich. Soudain, une question lui traverse l'esprit. Il avale sa bouchée.*

Au fait, comment t'appelles-tu?

Seraphim souria, une personne qui ne repondé au question par une question voila bien qui lui resemblé.

" d ici et d alieur "

il se moqué d'ou il venais, l'importemps etait ou il aller, il regarda sont interlocuteur qui lui possa a nouveaux une question, chose qu il aimé peux, mais se contenta de claqué a nouveaux la langue.

" Seraphim "

un prenom n etais rein de bien importemp au fond , comme le nom de famille sur tous qu'il venais d'arrivé sa n'aidré pas ,l etrangé a aprendre grand chose sur sont conte .

" et toi"

Seraphim continué de l observé les yeux gris froid semblé chercher a persé les mistére de Valantin

Valentin: *Valentin mange toujours tranquillement. Il en est à la moitié de son sandiwch. Il avale toujours avant de répondre, avec une voix calme.*

Valentin.

*Pendant un moment, Valentin ne parle pas, se contentant de regarde Séraphim et de manger. Enfin, il fini son sandwich. Il roule le papier en boule et continue d'observer Séraphim. En même temps, il mémorise son odeur.*

Je te sens différenst des autres, non? Nous ne sommes pas pareil, mais toi aussi tu es différents...à ta façon. Me tromperais-je?

Seraphim continué de le regardé sans un mot, parlent peux de nature il avait apris tres jeune que se n etais pas en parlent de soi qu'on aprenais sur les autre, ainci en forcent l'autre a reprendre la parole il apris que se dernier se senté diférent , comme ses etrange il ne l'avait pas remarqué ( ironique)

" ses pas a moi de te le dire qui te dit que ses pas le monde qui et decalé "

ou sa vition eroné ou etais la normalité ou commencé la diférence, peux de gens pouvais repondre a cette question ses pour quoi temps qu'on lui prouverais pas sa diference des autre , pour lui se serais les autre les bizard
il se redraisa passent sa langue sur ses dans blanche et setandie

" possible que je soi diferent sa ferais quoi ?"

Valentin: *Valentin rit légèrement. Il continueà regarder Séraphim, le regard légèrement amuser

C'est vrai, tu as raison. On ne peut dire qui est normal ou pas puisque la normalité n'existe pas. Tu es perpicaces pour un enfant. Je ne saurais dire de toi ou les autres qui est en décalage. Puisque quelques part, on est tous en décalage. Mais il y une chose que je peux t'affirmer. c'est que moi, je suis foncièrement différent de toi et des autres. Quelques chose en moi me le dit. On est pas pareil. Ca, j'en suis sûr.

*Valentin se lève et va jeter son papier. Puis, il retourne à sa place et soupire légèrement. Il regarde à nouveau Séraphim.*

Que fais-tu ici?

Seraphim sourie peux importe qu'il sois diférent ou pas a ses yeux il etais comme tous les autre, pour lui insignifient , serte il etais venus vert lui attiré par la curieusité, mais voila sa curieusité etais souvent suivie du desinterais.

" je me balade"

chose veridique pour une fois, il se baladé esailient devité le menage, il sortie une sigarette de sa poche et la mis en bouche pour lalumé par la suite.

" et toi ? tu vas ou comme ca "

il montra d un mouvement de la téte son sac ...

Valentin: *Valentin suit le mouvement de tpete qui lui indique Séraphim et voit son sac. Il sourit.*

Je ne sais pas vraiment. Disons qu'en quelques sortes je suis à la recherche de moi.

*Valentin n'en dit pas plus. Il se contenta de continuer à fixé Séraphim.*

Je croyais que c'était mauvais de fumer. Tu veux à ce point mourir.[/b]

Seraphim regarda la sigarette un moment ( oui seraphim ses pas bien )

" on dois bien mourire un jours de quelque chose"

puis la sigarétte comparé au géostigmata sa n'etais rein il tira une nouvelle boufé

" si ta nul par ou aller tu peux venire cher moi"

sa foutré la merdre avec les autre chose assez amusente,au yeux de Seraphim , imposé un etrangé permétré a suis ci de voir si ses frangin se tindré a careaux si pas il devrais leur fair la lesson de fermé leur grand geule.
il ne falais voir bonté dans se geste mais calcule ...

Valentin: *Valentin rit un peu à nouveau. Il regarda Séraphim les yeux rieur. Puis, surpris par sa proposition. Il haussa les épaules et se redressa.*

Puisque c'est proposer si gentiment.

*Il y a quelque chose d'ironique dans la voix de Valentin. Il prend à nouveau son sac sur le dos. Puis, il regarde Séraphim.*

J'espère au moins ne pas dérangé ta famille. C'est par où? Je te suis.

" ma famille quel famille"

voila qui etais bien dans sont caractére, serte xavié etais de sa famille mais les aute...et encore la famille on la subi lui ne subisé rein .

"suis moi ..."

il continua de fumé sa sigarétte rabatent sa capuche de sa veste en jean sans manche sur sa téte pour disimulé sont visage , et pris la direction de la demeur familliale d'un pas serain
il avait bien santie l'ironie dans sa vois mais sans tapé complétement.

" tu fait quoi dans la vie ?"

voila qui etais interaisent a savoire

Valentin: *Valentin sourit à la remarque de Séraphim. Il le suit, marchant à ses côtés.*

Elle si terrible que ça ou tu t'en fous complètement?

*Il regarde Séraphim un moment après sa dernière question. Finalement, il hausse les épaules.*

Rien de particulier. Et toi, tu fais que quelque chose de spécial?

Seraphim ne savait pas si elle etais si terrible que sa, il ne sans ocupé plus depuis longtemps suivent par pure obligation.

" j'en sais rein"

fut sa reponse

" tu jugera par toi même "

car il ne falais jamais se faire une opignion a partire des ondi, mais se la forgé sois méme il marché calmement

" je suis coursié"

fut sa reponse evitent de crié la suite de sont travail sur les toit il ne s appelé pas kyo

" on et presque arrivé "

( je poste la bas )